Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Langues anciennes, cibles émouvantes

07/09/2010 19:51

Langues anciennes, cibles émouvantes


La stratégie visant à éradiquer le grec et le latin de l’école publique entre dans sa phase terminale, avec la suppression programmée du Capes de lettres classiques, concours principal pourvoyeur des professeurs de langues anciennes dans les collèges et lycées de France. Membres du jury de ce défunt concours, nous avons devant nous ce qui semble devoir être la dernière génération de professeurs de grec et de latin.
Aucune autre discipline n’a eu droit à un traitement aussi privilégié ; partout ailleurs, la réforme des concours a tout de même laissé debout quelques épreuves qui permettent encore de vérifier la compétence des candidats dans la discipline qu’ils s’apprêtent à enseigner ; partout… sauf en langues anciennes. Aucune volonté politique établie, aucune logique de rentabilité, aucun impératif économique…Il y aura, dès le mois de novembre, un Capes de lettres classiques flambant neuf, sans latin ni grec… Tout au plus les candidats auront-ils à se fendre de quelques bribes de versions, comme nos collègues de lettres modernes traduisent parfois un peu d’anglais. Fi des explications de Virgile, Horace, Sénèque, Cicéron, Euripide, Eschyle, Platon… Place au contrôle de l’éthique du fonctionnaire et à l’épreuve reine : le commentaire d’une photocopie de manuel scolaire…
Une commission de réforme des concours se réunit en petit comité ; un inspecteur général y représente les lettres, négocie les nouvelles épreuves, sans latin ni grec ! Chagrin de notre inspecteur : "Je fis ce que je pus pour vous pouvoir défendre…" Le ministre valide, pas de risque de professeurs ou de gamins dans la rue pour sauver Homère et Tacite, et d’un trait de plume des disciplines entières disparaissent des écrans de contrôle, sans le début du commencement d’une justification.
Un peu d’histoire : depuis trente ans, des "hommes de progrès", plutôt bien représentés au sein du ministère, et de son inspection générale des lettres en particulier, luttent contre ces fléaux de l’élitisme, du conservatisme et de l’inutilité que constitueraient le grec et le latin. Aucune fracture droite-gauche à chercher : les pragmatiques comme les révolutionnaires y trouvent leur compte.
Ils avaient d’abord voulu agir sur la demande (les élèves et leurs familles), en proposant des horaires stimulants (latin pendant le déjeuner, grec le mercredi après-midi), des innovations audacieuses (seconde, première et terminale regroupées en une seule classe), la technique dite du "supermarket" ("Alors on vous propose la classe sportive, ou la classe numérique, ou la classe européenne, ou la classe musique, ou la classe d’excellence artistique, ou la classe sciences de l’ingénieur, ou alors du latin…").
Mais tous ces efforts se révélèrent peine perdue. Il restait, à la rentrée 2009, un demi-million de petits néoréactionnaires qui s’entêtaient à vouloir étudier le grec et le latin dans les collèges et lycées de France. Plus grave : dans un contexte où les supposées élites se détournent massivement de l’étude des langues anciennes au profit d’options jugées plus modernes (classe européenne, cinéma, chinois…), le grec et le latin sont en train de devenir l’un des rares endroits où les élèves les plus fragiles peuvent bénéficier de ce grand luxe dans l’école d’aujourd’hui : du temps.
Du temps pour comprendre l’orthographe des mots, la grammaire d’une langue, l’évolution d’une écriture, du temps pour l’essentiel. La diminution drastique des horaires de français dans le secondaire rend ces matières indispensables, du moins pour ceux qui ne peuvent apprendre le français là où on l’apprend désormais : non plus dans une classe, mais dans sa famille.
Dans cette étoffe d’incohérence que constitue une journée de cours pour un lycéen d’aujourd’hui, le grec et le latin confèrent une unité à cet ensemble, notamment pour ceux qui n’ont personne autour d’eux pour les aider à s’orienter dans le dédale des filières et des options. Pouvoir retrouver l’étymologie de tel nouveau terme scientifique, tel symbole mathématique familier, tel mythe revu et corrigé par un auteur du XXe siècle, telle racine indo-européenne commune à l’allemand et à l’espagnol : ou comment une journée de cours s’ordonne autour d’une langue ancienne.
Le grec et le latin, instruments de l’égalité des chances, vecteurs de réussite scolaire pour les plus démunis ! Il fallait agir ! Supprimer les élèves prendrait du temps, le plus simple est qu’ils n’aient plus de professeurs. Cette décision devenait d’autant plus urgente que commence à se dessiner aujourd’hui le bilan des "hommes de progrès" qui ont, depuis quelques décennies, la haute main sur l’enseignement des lettres.
Un bac français où a désormais cours la notion de "compréhension phonétique" de la copie, des professeurs de langues vivantes, de sciences, bloqués dans leur progression par les lacunes abyssales des élèves en français, des universités instituant un peu partout des modules de rattrapage accéléré en grammaire et en orthographe pour les jeunes bacheliers, des élèves incapables de trouver les mots, prisonniers de codes langagiers qui font peut-être les délices des scénaristes et des publicitaires mais s’avèrent assez discriminants dans les entretiens d’embauche.
Effectivement, mieux vaut que les élèves n’entendent pas trop parler de l’Athènes antique, où les hauts fonctionnaires étaient astreints à rendre compte de leur gestion au sortir de leur charge…
C’est dire la responsabilité qui échoira à ces derniers jeunes professeurs de lettres classiques qui, dans un mois à peine, seront projetés dans les eaux troubles des classes de collège avec la lourde charge d’y faire exister le grec et le latin. C’est là-bas plus qu’ailleurs que ces matières devront apporter la preuve de leur légitimité et de leur nécessité. Ils nous trouveront à leurs côtés dans cette entreprise. Universitaires, formateurs, professeurs, c’est à ce combat-là que nous allons désormais consacrer toutes nos forces, loin des jurys de concours où nous laisserons à d’autres la délicate besogne d’abandonner l’étude des "poètes impeccables" pour le contrôle, plus inattendu, des "collègues impeccables".
Car nous sommes convaincus qu’il y a plus que jamais en France une demande d’école, une demande d’exigence, d’ambition et de dépaysement, et que le grec et le latin sont les mieux placés pour y répondre. Dans un système qui ne fait qu’accroître les inégalités entre les familles, où l’on explique aux élèves boursiers : "On va vous faire passer des concours différents parce que vous êtes pauvres", dans un système qui abandonne, sans combattre, ses principes fondateurs aux établissements privés, nous ne comptons pas vraiment abdiquer "l’honneur d’être une cible".
Michèle Gally, professeur des universités (Aix-Marseille) ;
Malika Bastin-Hammou, maître de conférences (Grenoble) ;
Emanuèle Caire, professeur des universités (Aix-Marseille)
Sabine Luciani, professeur des universités (Grenoble) ;
Bénédicte Delignon, maître de conférences à l’ENS (Lyon) ;
Anne de Crémoux, maître de conférences (Lille) ;
Danièle Sabbah, professeur des universités (Bordeaux) ;
Thomas Guard, maître de conférences (Besançon) ;
Anne-Marie Favreau-Linder, maître de conférences (Clermont-Ferrand) ;
Pascale Barillot, professeur de lettres classiques (Versailles) ;
Laure Echalier, maître de conférences (Montpellier) ;
Anne Vialle, professeur en classe préparatoire (Bordeaux) ;
Michèle Gueret-Laferte, maître de conférences (Rouen) ;
Augustin d’Humières, professeur de lettres classiques (Créteil). des membres du jury du Capes de lettres classiques





Autopsie du mamouth

06/09/2010 17:41

Autopsie du mamouth


Autopsie du Mammouth
de Claire Mazeron
 
Essai
Collection : Coup de gueule
Paru le 01/2010
ISBN : 2350132048
288 pages

 

Le Mot de l'éditeur :

De l'Education nationale - le "Mammouth", disait Claude Allègre -, nous pensions avoir tout entendu: les statistiques mirifiques, les profs ballottés, sous-payés, méprisés, les élèves d'autant plus dupés qu'on les a mis "au centre", les parents désemparés ou envahissants, les grèves inefficaces, la suffisance de certains ministres, et les insuffisances des autres...
Restait à comprendre la vie intime de la Bête, la logique de son (dys)fonctionnement. De collèges chaque jour plus invivables jusqu'aux couloirs de la rue de Grenelle, où des apparatchiks inamovibles mènent des politiques délétères, en passant par la grande gabegie d'un ministère qui dilapide en vain le premier budget de l'Etat, nous voici invités aux premières loges par une syndicaliste qui a été de tous les combats.
Claire Mazeron a vu de près l'incompétence des uns et le mépris des autres, des incohérences de la loi Fillon à l'usine à gaz du lycée façon Chatel. Chefs de bureau idéologues, conseillers cultes ou occultes, syndicalistes complices, parents professionnels, et enseignants découragés, tout est disséqué dans le détail. Une analyse au scalpel écrite avec l'ironie des grands désespoirs, la révolte lucide de celles et ceux qui y croient encore, et des propositions cohérentes - pour donner des idées aux politiques, et de l'espoir aux soutiers du Système.






Le triomphe de la décrépitude ? Non, la résistance !

02/09/2010 13:19

Le triomphe de la décrépitude ? Non, la résistance !


La France est engluée dans un chômage de masse, et en réalité bien plus élevé que les chiffres officiels, et ce depuis plusieurs années ; la crise y est pour peu, mais elle a bon dos quand il s’agit pour les politiques de masquer leur échec. Les délocalisations s’accélèrent encore et encore. Trouver un financement pour une PME est aujourd’hui une mission quasi-impossible. La rentrée sera marquée par la réforme des retraites, réforme qui en plus d’être injuste, ne changera rien au problème, tant qu’il n’y aura pas de croissance. Tiens, la croissance, elle, plafonne à 2% depuis bientôt trois décennies. N’évoquons pas l’insécurité…
Alors, pourquoi écrire un modeste article pour encore une fois faire ce tableau tout noir, que n’importe qu’elle personne de bon sens peut faire ? Parce qu’il est insupportable, dans ce contexte catastrophique, d’entendre nos dirigeants se réjouir de petits soubresauts, que ce soit dans le domaine de l’économie, de la sécurité, etc. Ainsi madame Lagarde s’est félicité d’une croissance de 0,6% au second trimestre 2010, et ce par rapport au premier trimestre. Et si en juillet 2010, le nombre de demandeurs d’emplois de catégorie A croit de 5,4% en un an, à 2.767.000 personnes – « des usagers du pôle emploi », relativiserait notre ami Eric Woerth –, cela n’empêche pas non plus madame Lagarde de se réjouir d’une baisse de 0,5% (sic !) du nombre de demandeurs d’emplois de catégorie A par rapport à juin, après une baisse de à 0,3% en juin : « C’est positif, on a pour le deuxième mois consécutif une baisse du chômage. C’est l’indication d’une stabilisation du chômage ». Sinon, toutes catégories de chômeurs confondus, la hausse se porte à 8,3% sur un an. Passons sur les auto-satisfecit de monsieur Hortefeux, en matière de sécurité, lorsque celui-ci se réjouissait d’une baisse de la délinquance en 2009 de… 1,04% !
Bref, arrêtons avec les chiffres. Voilà le problème : la France dévale un gigantesque toboggan à toute allure, et nos dirigeants érigent en victoire le moindre sursaut du pays dans sa course infernale. C’est pour cela que je parle de triomphe de la décrépitude : elle s’est imposée, nos dirigeants s’y sont habitués. Ce n’est pas seulement parce qu’ils doivent faire bonne figure pour se faire réélire qu’ils arborent ces chiffres avec le sourire, chiffres qui au vu de la situation de la France sont en réalité consternants ; c’est aussi parce qu’ils la considèrent cette décadence comme normale. Le défaitisme l’a emporté, les imprègne. Pour eux, « c’est foutu ». Sauvons les meubles, c’est-à-dire les copains du premier cercle et compagnie, et tâchons de ne pas avoir bilan trop mauvais.
Face à cette descente aux enfers, Debout la République est là pour rappeler que rien n’est perdu, que les français ont le droit d’avoir des ambitions bien plus fortes que par de minables « stabilisations » ou « légers reculs » du chômage. Car le plein-emploi est possible ! Car tout est encore possible ! Les mesures à prendre sont simples, mais demandent souvent du courage. C’est pourquoi, plus que jamais, le gaullisme est d’actualité : résister, encore et toujours.
Pierre-Nicolas Vilaumié, Debout Les Jeunes.





Dupont-Aignan appelle Sarkozy à "ne pas communiquer sur du vent"

01/09/2010 23:53

Dupont-Aignan appelle Sarkozy à


Dupont-Aignan (DLR) appelle Sarkozy à "ne pas communiquer sur du vent"

PARIS, 1 septembre 2010 (AFP) - Le député (ex-UMP) et président de Debout la République (DLR) Nicolas Dupont-Aignan a appelé mercredi le président Sarkozy "à ne pas communiquer sur du vent" car, dit-il, "il y a un moment où la réalité vous rattrappe". "On ne peut pas tricher éternellement. On ne peut pas gouverner uniquement avec des effets d’annonces. Il y a un moment où la réalité vous rattrappe", a dit M. Dupont-Aignan sur BFM à propos de la surenchère sécuritaire du gouvernement. "Au lieu de se poser, de réfléchir, il y a eu la volonté du président de la République de se livrer à une surenchère pour faire croire qu’il agit. Mais ce ne sont que des paroles et des paroles qui cassent beaucoup de choses", a estimé le député de l’Essonne. "Le président a choisi les mesures qui font le plus de bruit et qui ont le moins d’efficacité" et au même moment, on a supprimé 10.000 postes de policiers dans nos banlieues", a-t-il dénoncé. "Il faut remplacer les départs en retraite dans les commissariat, construire des places de prison, rétablir la chaîne pénale... il faut des choses sérieuses mais pas communiquer sur du vent", a-t-il conclu.






La discorde chez la majorité

01/09/2010 21:06

La discorde chez la majorité


Alors que le PS retrouve une certaine unité, c’est l’inverse à l’UMP : Fadela Amara, Bernard Kouchner et François Fillon prennent leur distance, Jean-François Copé critique le premier ministre et Xavier Bertrand ; ce dernier réplique instantanément : c’est la chienlit dans la majorité !
Quand la désunion passe du PS à l’UMP
Il n’y a pourtant pas si longtemps, l’ensemble des troupes majoritaires récitaient comme des robots le même argumentaire pondu par l’Elysée. Si cela n’était pas sans limite, au moins, cela communiquait une unité que le Parti Socialiste était bien incapable de montrer entre les tirs de snipers de Manuel Valls ou ceux de Vincent Peillon. La discipline était clairement la force de la majorité et la désunion la caractéristique de l’opposition. Cela expliquait sans doute le fait que Nicolas Sarkozy avait encore de bons sondages présidentiels étant donné la faiblesse de sa cote personnelle.
Le PS a retenu la leçon et la belle unité affichée le week-end dernier rend clairement plus crédible l’opposition. Parallèlement, c’est l’UMP qui perd de sa superbe. Si, depuis le démarrage, la contestation a toujours était présente (Rama Yade…), ces derniers jours ont été une véritable farce. Alors que l’unité était essentielle pour reprendre pied après la descente aux enfers du printemps dernier, on assiste à une multiplication de déclarations de ministres critiquant un autre membre du gouvernement ou de parlementaires s’en prenant également à des ministres.
Nicolas Sarkozy a d’ors et déjà complètement raté sa rentrée, d’autant plus que la désunion de son camp contraste cruellement avec l’unité retrouvée du camp adverse. Il ne reste décidemment plus grand-chose à l’hôte de l’Elysée… La discorde chez la majorité commence à créer une atmosphère de fin de règne qui n’est pas sans rappeler les précédents de 1995 ou 2007, c’est dire ! Plus personne ne semble avoir d’autorité et chacun semble désormais jouer sa carte en fonction de ses intérêts propres sans jamais se poser la question d’un quelconque intérêt général.
Pourquoi un tel désordre ?
Après un printemps aussi calamiteux, il aurait fallu que le gouvernement et la majorité agissent parfaitement de concert, sans le moindre couac. Nicolas Sarkozy aurait pu opposer un professionnalisme de bon aloi à toutes les polémiques qui l’assaillent. Mais non, le gouvernement répond dans le désordre et en se tirant dans les pieds. On croirait revivre les pires heures de la rue de Solférino. Il est sidérant de constater l’incapacité du gouvernement à agir comme une équipe, le tout sans la moindre réaction du président qui laisse faire cette chienlit qui mine pourtant son quinquennat.
En fait, il faut dire que le désordre gouvernemental est en bonne partie la conséquence du comportement de Nicolas Sarkozy de 2002 à 2007 comme ministre de Jacques Chirac. Pendant cinq ans, la solidarité gouvernementale a été une option pour l’ambitieux candidat à la présidentielle qui faisait toujours prévaloir ses intérêts sur ceux de l’équipe gouvernementale. Il n’est donc pas étonnant que ses ministres fassent de même d’autant plus qu’il s’est montré incapable de sanctionner les ministres qui outrepassaient leur devoir de réserve ou de solidarité.
Il est assez incroyable que Nicolas Sarkozy passe à ce point à côté de sa rentrée. La chienlit gouvernementale donne l’impression d’une équipe à bout de souffle et d’un président inutile pour remettre de l’ordre. Même la perspective d’un remaniement ne parvient pas à les discipliner !





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